mardi 28 avril 2015

Voitures électriques, le fiasco nantais des rallonges trop courtes.



Toutes les bonnes idées sont bonnes à prendre, mais encore faut-il les réaliser correctement. Après le BusWay et le Bicloo, la ville de Nantes clôt la période expérimentale pour sa voiture électrique, Marguerite, et fait un bilan mitigé.

Le problème principal vient, comme pour toutes les nouvelles technologies électroniques et électriques, des batteries. L’autonomie est trop faible et rend tout déplacement impossible. A moins que vous ne souhaitiez  seulement vous servir de Marguerite pour aller au bout de la rue. Sans quoi, c’est la panne assurée !

Une alternative a été mise en place, à l’instar de l’I-phone, dont chacun sait qu’il vaut mieux le laisser branché sur secteur pour s’en servir plus d’une minute : rouler avec la rallonge !

Là non plus, ça n’a pas été très concluant, puisqu’il a fallu faire appel aux services de la ville pour défaire le sac de nœuds, engendré par les divers parcours de Marguerite. Pour pallier à ce défaut, tous les véhicules seront prochainement équipés de batteries au Thorium. Un produit hautement radioactif, mais qui a l’avantage de fournir assez d’énergie pour faire le tour du périph en moins de 15 minutes.

L’étude de la mise en service de vélos électriques en libre service a été reportée à l’automne 2016.  

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