C’est Jacques Ouche-Dezidais, ingénieur principal en charge des mobilités dans la métropole qui l’a annoncé : Face aux problèmes de transport et aux embouteillages présents sur le pont de Cheviré, une alternative va être mise à l’essai.
" Les anciens bacs de Loire avaient vocation à transporter les véhicules d’une rive à l’autre du fleuve, c’est ce que nous allons refaire en les réutilisant sous forme de nacelles comme cela se faisait avec le pont transbordeur. Les bacs de Loire deviendront les bacs de l’air ".
Interrogé sur le coût de l’investissement, le référent mobilité se veut confiant: " Je pense qu’en retirant deux ou trois branches du futur arbre au hérons, nous trouveront le financement nécessaire ".
Les différentes entreprises chimiques basées près du pont de Cheviré s’interrogent déjà sur la pollution visuelle qui pourrait en découler.
" Notre projet est une véritable alternative et chaque automobiliste pourrait également covoiturer. Cela diviserait par deux le nombre de véhicules , mais le risque de créer du lien social et d’assainir l’air reste un danger potentiel ".
Propos recueillis par
Serge Anguay-Traher.
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