Jean-Louis Sanlalouz, le président de la société Lachauvive
est sous les projecteurs. Les gants en plastique avec de fausses empreintes
digitales contenus dans la mallette de son jeu « Commissaire, moulons » a semé
la zizanie.
Le principe est simple: munis de fausse mains des joueurs
commettent des méfaits, les autres joueurs doivent réaliser un relevé
d’empreinte pour trouver le coupable.
« Les empreintes mises sur les gants sont imaginées et crées
par un bureau d’étude spécialisé dans ce domaine, une entreprise qui travaille
même avec la police judiciaire. »
Au point d’avoir pu mélanger celles du suspect d’un massacre
familial ?
C’est en tout cas l’hypothèse relevée par le procureur de
Nantes: « il apparaît qu’une exemplaire a été vendu dans la boutique Duty-Free
de l’aéroport Charles de Gaulle ce vendredi. »
Un lien entre le suspect de l’affaire de Ligonnès ?
« Ecoutez, laissez la police faire son travail, dès que
j'aurai de plus amples informations croyez bien que vous en serez les premiers
informés . » a expliqué le commissaire Balaise en charge de la partie écossaise
de l’affaire.
"Commissaire, moulons", un jeu sympa mais aux conséquence inattendues
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