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Policiers préférant rester anonyme. Franchement, on les comprend. |
Ce cri d'alarme, déchirant, venant du cœur, ne peut qu'être entendu par une hiérarchie, qui jusque là faisait appliquer les règles venues d'en haut sans broncher. Mais selon nos informateurs, même en plus haut lieu, la grogne s'avèrerait omniprésente. Pour le conseiller stratégique du conseiller en communication du Préfet : "De toute façon, on ne va pas pouvoir les tenir longtemps. Déjà que d'ordinaire, ils ne risquent pas grand chose à faire n'importe quoi... S'ils ne sont pas entendus, nous ne répondrons plus de rien". Des menaces à peine voilées (enfin, voilées, c'est une expression hein) que la tête de l'Etat devrait craindre.
"Et puis les petits plaisantins de votre espèce, on va se les faire aussi". Ah, ça, c'est rassurant. D'autant que nous, à la rédaction de N.O.N, nous sommes de tout cœur avec la police. Et depuis toujours!
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