« 25
ans qu’on se fait chier à cirer des pompes », voilà comment le président
du Syndicat des Journalistes de Loire-Atlantique répond quand on s’étonne d’une
telle position pour les prochaines municipales.
Fatigués
de faire la promotion permanente de l’excellente politique culturelle, de la
formidable avancée des transports et des incroyables succès sportifs de notre
ville, les journalistes demandent solennellement « le changement ». Il
leur paraît évident qu’avec la droite au pouvoir dans la ville, ils pourront
enfin se lâcher un peu. Pour les uns, il s’agira de critiquer avec véhémence le
libéralisme local, de s’amuser des facéties populistes goût pain-au-chocolat à
poil, et pour d’autre, le simple plaisir de dire enfin ce qu’ils pensent en
clivant les nantais selon quelques critères subjectifs, que seul la morale
droitière comprend.
Ce
positionnement ne concerne que les journalistes et leur rédaction. Les revues
et autres propagandes municipales ne s’inquiète que d’une chose, c’est qu’on
leur coupe leurs grasses subventions si le Parti Socialiste perd.
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