Toutes
les bonnes idées sont bonnes à prendre, mais encore faut-il les réaliser
correctement. Après le BusWay et le Bicloo, la ville de Nantes clôt la
période expérimentale pour sa voiture électrique, Marguerite, et fait un bilan mitigé.
Le
problème principal vient, comme pour toutes les nouvelles technologies
électroniques et électriques, des batteries. L’autonomie est trop faible et
rend tout déplacement impossible. A moins que vous ne souhaitiez seulement vous servir de Marguerite pour aller au bout de la rue. Sans quoi, c’est la panne
assurée !
Une
alternative a été mise en place, à l’instar de l’I-phone, dont chacun sait qu’il vaut mieux le laisser branché sur
secteur pour s’en servir plus d’une minute : rouler avec la
rallonge !
Là
non plus, ça n’a pas été très concluant, puisqu’il a fallu faire appel aux
services de la ville pour défaire le sac de nœuds, engendré par les divers
parcours de Marguerite. Pour pallier
à ce défaut, tous les véhicules seront prochainement équipés de batteries au
Thorium. Un produit hautement radioactif, mais qui a l’avantage de fournir
assez d’énergie pour faire le tour du périph en moins de 15 minutes.
L’étude
de la mise en service de vélos électriques en libre service a été reportée à l’automne
2016.
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