Photo Ouest-France. Notre photographe était trop bourré pour prendre la caisse. |
Dieu
a joint la rédaction cet après-midi. Dépité, fatigué, il nous a fait part de
son désarroi et de son impuissance. « Je n’arrivais déjà pas à éviter les
fuites dans la toiture. Alors un incendie… », nous a-t-il confié, alors
que nous lui rappelions la fidélité sans faille des paroissiens de Saint
Donatien.
« Je
comprends qu’ils le vivent comme un abandon. J’avoue que j’en ai un peu marre
de tout ça (de l’humanité. Ndlr.), j’aimerais bien qu’on me lâche un peu. »
Un
deuxième Dieu nous a contacté deux heures plus tard, avec une autre voix, et un
discours bien différent. Plus cynique. Nous n’avons pas souhaité retranscrire
ses propos. Et vous confions même que nous nous somme permis de douter, du coup, de la
crédibilité du premier, comme du deuxième d’ailleurs. Nous demandant : « et
si ces appels n’étaient que des canulars. Et même si Dieu n’existait pas… »
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